
NOTRE EXPERTISE
Un réseau d’installateurs de piscines, et c’est déjà beaucoup…
Avant d’entreprendre l’installation d’une piscine sur-mesure, une analyse approfondie du terrain s’impose : nature du sol, orientation, contraintes techniques et accès au chantier. Le respect des réglementations locales et les choix esthétiques, techniques et d’équipements garantissent une intégration élégante et pérenne et une expérience sans souci.
Le guide Blue 2.0
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Nos Piscines
Pièges à éviter
Des démarches administratives au choix des équipements en passant par le terrassement et la construction, il est important d’être bien informé pour faire les bons choix. Votre terrain, les règles de votre commune, la région dans laquelle vous vivez mais également vos besoins sont autant de critères à ne pas négliger.
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Choisissez le bon matériau pour le remblaiement
L’un des pièges majeurs en terrassement de piscine concerne le remblaiement avec de la terre, qui se tasse naturellement pendant plusieurs années, obligeant à ajouter de la terre chaque année et rendant impossible la réalisation d’une terrasse stable. Pour éviter ces désagréments, il est essentiel d’utiliser un matériau autocompactant. Ce type de remblai ne se tasse pas dans le temps, assure une excellente stabilité, protège les réseaux périphériques et permet la construction immédiate et durable de terrasses ou plages. Contrairement à la terre, il n’induit ni affaissements ni coûts d’entretien futurs. En résumé, le bon choix de matériau garantit un chantier pérenne, sans mauvaises surprises, et évite les reprises chroniques d’aménagement. Remblayer en concassé, c’est assurer la qualité, la durabilité et la tranquillité du projet piscine. Remblayer en terre pur des raisons économiques n’est pas une pratique professionnelle et est interdite dans le réseau Blue 2.0
Choisissez la bonne construction pour le bon terrain
Il existe plusieurs types de piscines : coque, kit ou béton, chacune avec ses avantages et ses limites. Les coques et les kits sont rapides à poser, mais coûteux à rénover et très sensibles à l’eau et à la nature du sol. une étude de sol est obligatoire, ainsi qu’un puits de décompression, souvent bruyant et énergivore. Ces solutions sont donc à éviter en terrains humides et argileux. Les piscines béton offrent plus de variété : les constructions en banche perdue sont les plus économiques, avec une profondeur limitée, et un brassage insuffisant sans bonde de fond qui alourdit l’entretien et la surveillance de la qualité de l’eau de la piscine. Les blocs à bancher et bétons banchés, plus chers, permettent une construction sur mesure adaptée aux terrains humides et argileux. Les piscines béton monoblocs permettent une étanchéité solidaire du support de type carrelage ou enduit, mais impliquent un budget élevé et un respect rigoureux des normes de mise en oeuvre pour éviter toute microfissuration. En résumé, toutes les constructions ne sont pas compatibles ou conseillées en fonction de la nature du sol, de la nature de l’étanchéité » et du budget (construction et rénovation). Il faut avant toute préconisation analyser les sols et faire une découverte approfondie sur place avec un professionnel pour choisir la technique la plus appropriée.
Ne négligez pas les réseaux enterrés
Les liaisons hydrauliques et les raccordements sont souvent négligés lors de la construction d’une piscine, alors qu’ils sont essentiels. La qualité des tuyaux et des équipements détermine la durabilité de l’installation. Un tuyau endommagé peut entraîner des réparations coûteuses, nécessitant parfois la démolition de terrasses ou d’aménagements paysagers, avec des dégâts s’élevant à plusieurs milliers d’euros. Bien que ces éléments soient invisibles car enterrés, leur fiabilité conditionne le bon fonctionnement à long terme de la piscine. Il existe de grandes disparités de qualité sur le marché. Blue 2.0 privilégie des tuyaux avec un polymère spécifique qui bénéficient d’une garantie décennale fabricant, résistant au gel et à une torsion supérieure à 90° et à toute forme de poinçonnement.
Choisissez la bonne étanchéité
Le prix en matière d’étanchéité n’est pas toujours une garantie de qualité. L’étanchéité des piscines suscite de nombreuses idées reçues, rendant le choix difficile parmi les nombreuses solutions disponibles. Les systèmes solidaires du support, comme les carrelages et enduits, sont fragiles face aux microfissures du bassin, ce qui compromet l’étanchéité. De plus, ils sont les plus coûteux et nécessitent un entretien régulier. Il servent uniquement de finition décorative, la véritable étanchéité reposant sur des couches successives de cuvelage et de résine. La solution la plus répandue est l’utilisation de membranes PVC. Indépendantes du support, ce qui les rend plus fiables même en cas de fissuration du bassin et recommandées par les professionnels et les assureurs, elles représentent 85% des revêtements des piscines privées et collectives. On distingue deux types : le liner, c’est une poche PVC de 75 centièmes d’épaisseur, et la membrane armée, composée de deux liners encadrant une trame en fibre de verre, plus stable dimensionnellement. Plus résistante à l’utilisation la durabilité et la garantie d’une membrane armée sont équivalentes à un liner. Les liners de qualité doivent être garantis jusqu’à 33°C pour éviter les risques de plis. Privilégiez les membranes armées avec des formes complexes car elles seront soudées sur place.
Mal filtrée, votre piscine vous condamne à un entretien intensif
Le bon dimensionnement de la filtration et du réseau de brassage est essentiel au bon fonctionnement d’une piscine. Une filtration bien calculée réduit l’entretien nécessaire et limite les dépenses en produits chimiques. Chaque bassin doit être conçu selon des débits et un brassage adaptés pour garantir une eau saine avec un minimum d’efforts. Tenter de faire des économies en choisissant un système en dessous des normes entraîne des risques : eau trouble, prolifération d’algues, surconsommation de produits et d’énergie, et entretien complexe pour l’utilisateur. Il est donc crucial de privilégier des équipements de qualité, avec des vitesses variables, pour optimiser la consommation énergétique. De plus, le système de filtration doit être adapté à votre mode d’assainissement : un rejet d’eau non traité dans le jardin est illégal et passible de
lourdes amendes. Le professionnel doit ainsi concevoir le système en tenant compte de l’assainissement, des dimensions du bassin et du type de couverture.
Choisissez un traitement compatible avec vos installations et votre disponibilité
Le traitement de l’eau de piscine offre de nombreuses options, chacune avec ses avantages et limites. Le chlore, le plus courant et le moins cher, nécessite une surveillance constante car il est affaibli par les UV. Il irrite les yeux et ternit les revêtements, bien que des systèmes automatiques de dosage existent, mais à un coût plus élevé. Le brome, conçu pour pallier ces défauts, est peu répandu et coûte environ 300 €/an pour une piscine de 8×4m. L’électrolyse au sel, en plein essor depuis 20 ans, génère automatiquement de l’hypochlorite de sodium (composé de l’eau de Javel à l’état gazeux), permettant un entretien simplifié et une baignade confortable sans irritation, mais elle reste très oxydante et agressive pour les membranes. Depuis 10 ans, les traitements UV gagnent en popularité. C’est une solution utilisée en potabilisation de l’eau et en pisciculture qui réduit les apports de chimie dans le bassin. Ils nécessitent un traitement complémentaire pour assurer la rémanence. Enfin, l’oxygène actif, dérivé de l’eau oxygénée, a vu son usage diminuer, car les normes européennes ont réduit ses concentrations autorisées, rendant le traitement moins efficace et augmentant les quantités de produit nécessaire. Attention, tous les traitements ne sont pas compatibles avec tous les équipements et toutes les piscines.
Protégez votre bassin, préservez votre sérénité
Installer un système de sécurité pour votre piscine est obligatoire, sous peine d’une amende pouvant atteindre 45000€. Bien que souvent onéreux, ces dispositifs – de plusieurs types – doivent empêcher l’accès au bassin. Il peuvent permettre également de limiter la chute de résidus végétaux qui entrainent un entretien important du bassin. Une couverture de sécurité contribue également à réduire l’évaporation, la consommation d’eau et la préservation de la chaleur. Toutefois, toutes les couvertures ne sont pas compatibles avec tous les types de piscines. Il est donc essentiel de se faire conseiller par un professionnel pour choisir une solution adaptée, à la fois conforme, efficace et durable.
Ne sous-estimez pas la régulation de la température de votre bassin
Le choix du système de chauffage pour une piscine doit être réfléchi, avec une priorité donnée à une bonne régulation de la température, aussi bien en hausse qu’en baisse. Une eau trop chaude (au-delà de 27–28 °C) favorise le développement d’algues et de bactéries, entraîne une surconsommation de produits chimiques et augmente les coûts énergétiques, tout en risquant d’endommager les équipements et de nuire à la santé des baigneurs. Il est donc recommandé d’opter pour un système réversible capable de maîtriser ces hausses de température. Côté consommation, un réchauffeur électrique, bien que peu cher à l’achat, consomme 5 à 6 fois plus qu’une pompe à chaleur, rendant
son usage peu rentable à long terme. Quant au chauffage solaire, il permet d’élever la température mais sans régulation précise, ce qui peut rendre le bassin instable lors de fortes chaleurs. Une régulation thermique efficace est donc essentielle pour préserver confort, sécurité et performance.
Exigez les autorisations et garanties obligatoire et des informations claires et détaillées
Pour réussir un projet de piscine, certains pièges administratifs doivent absolument être évités. Le premier consiste à penser qu’aucune autorisation n’est nécessaire, même pour une mini-piscine ou une piscine hors-sol. Or, il est essentiel de vérifier les règles du Plan Local d’Urbanisme (PLU), qui régissent toutes les constructions, piscines comprises. Un autre piège fréquent est de faire appel à un professionnel non assuré, notamment sans garantie décennale, indispensable pour couvrir les éventuels dommages liés à l’ouvrage. De nombreuses entreprises ne disposent pas soit d’une assurance décennale soit des garanties nécessaires à l’activité de construction de piscine. Vous devez demander le périmètre des garanties couvertes et ne faire aucun compromis sur ce point. Enfin, il est crucial d’obtenir un devis précis et des plans détaillés de la part de l’installateur, afin de pouvoir évaluer les aspects techniques et financiers du projet en toute transparence. Construire une piscine ou rénover un bassin sont des prestations complexes qui nécessitent information détaillée et clarté.
Consommation d’une piscine
Maitrisez vos consommations. La piscine génère 4 grandes formes de consommation : l’électricité pour la filtration, le traitement et les équipements périphériques, l’énergie pour le chauffage, les produits chimiques pour l’eau, et enfin l’eau elle-même.
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Consommation électrique
La consommation électrique d’une piscine peut être fortement réduite en optant pour des équipements performants : pompes de filtration à vitesse variable, pompes à chaleur à haut COP, et systèmes de traitement à faible consommation, tout en évitant l’usage d’un puits de décompression. Avec ces choix, la consommation annuelle s’établit à environ 850 €. En revanche, utiliser des équipements bas de gamme, bien que moins chers à l’achat — comme des réchauffeurs électriques, des pompes de filtration
classiques ou des solutions de construction nécessitant un puits de décompression — peut entraîner une consommation électrique 4 à 5 fois supérieure, atteignant jusqu’à 4 500 € par an. Le choix initial du matériel et notamment concernant la filtration et le chauffage, est déterminant dans le budget énergétique à long terme.
Consommation chimique
La consommation de produits chimiques pour équilibrer et désinfecter l’eau varie fortement selon le système de traitement choisi. Elle peut aller de 200€ pour les systèmes de production automatiques in situ à 800 € par an pour les autres systèmes, soit du simple au quadruple, en fonction de l’efficacité et de la performance de l’équipement installé.
Consommation d’eau
La consommation d’eau d’une piscine dépend fortement des équipements choisis pour la filtration, le traitement et surtout la couverture du bassin. À usage égal, ces choix peuvent faire varier la consommation annuelle d’eau de manière significative, allant de 5 à 50 m³ par an. Une piscine bien équipée et protégée limite les pertes liées à l’évaporation, au nettoyage et aux renouvellements partiels d’eau, réduisant ainsi l’impact environnemental et les coûts d’exploitation. Le bon dimensionnement et l’optimisation des équipements sont donc essentiels pour maîtriser la consommation d’eau.
Conclusion
La consommation d’eau et d’énergie d’une piscine dépend directement des équipements choisis et de la conception globale du projet. Ces décisions ont un impact majeur, pouvant multiplier la consommation par 5 à 10 selon les options retenues. Il est donc essentiel de bien s’informer en amont : demandez systématiquement à votre professionnel les données de consommation estimées ainsi que les bilans de performance, notamment pour les systèmes de chauffage, lorsqu’ils sont disponibles. Un choix réfléchi permet de réduire significativement les coûts d’exploitation à long terme. Blue sélectionne ses équipements afin de réduire au maximum les consommations.
Prix d’une piscine
Le prix d’une piscine peut très vite passer du simple au quintuple suivant les matériaux, l’implantation et les équipements choisis. Tous les prix sont présents sur le marché et il est difficile de se faire une idée précise du prix réel d’une piscine sur internet. La plupart des sites ne donnent que le prix du bassin et de son système de filtration en omettant volontairement d’inclure le coût du terrassement, des plages environnantes ou encore de la couverture, pourtant indispensable pour sécuriser votre bassin. Quel que soit le type de construction que vous choisirez, la piscine a un certain nombre d’équipements incontournables, qu’il vous faudra connaitre pour mieux appréhender votre budget.
Le terrassement
Le bassin
Le revêtement et l’étanchéité
Le local technique de filtration
Le traitement
Raccordements
Margelles et terrasses
Chauffage
Couverture
Conclusion
Le terrassement
Le terrassement, une étape essentielle et souvent le poste le plus coûteux
Le coût du terrassement dépend du volume de terre à creuser et à évacuer. Sans évacuation, le prix peut être réduit de moitié.
En moyenne, deux jours suffisent pour creuser le trou principal et réaliser les tranchées, avant la pose de la piscine sur un lit de gravier autocompactant.
Les volumes de terre déplacés sont importants, car celle-ci s’expanse lors du déblaiement, entraînant une logistique coûteuse.
Il faut prévoir encore deux jours pour le remblaiement avec des matériaux autocompactants. L’usage de terre en remblai est à proscrire, car elle met plusieurs années à se stabiliser.
Le passage d’une plaque vibrante au-dessus des liaisons hydrauliques est interdit afin d’éviter tout dommage.

Le terrassier doit aussi prévoir le drainage en cas de présence d’eau dans les sols : puits de décompression et système de drainage adapté assurent la stabilité de l’ouvrage.
Le temps d’intervention, les volumes traités et le coût des matériaux (graviers, drains, outillage…) font du terrassement l’un des postes majeurs de la construction d’une piscine.
Le terrassier doit être un professionnel assuré et expérimenté — exigez ses attestations. Des prix anormalement bas révèlent souvent un non-respect des normes et exposent le client à d’importants risques.
Comptez entre 6 000 € et 12 000 € TTC pour le terrassement
* Nous vous donnons une fourchette indicative de
Ces montants indicatifs s’entendent main d’œuvre et fourniture comprises pour un bassin de 8 m × 3,5 m × 1,5 m avec une tranchée de 10 mètres linéaires entre le bassin et le local technique.
Les prix peuvent varier en fonction de la région, des coûts locaux des matériaux et des fournitures, ainsi que des tarifs de main-d’œuvre pratiqués localement.. Ces prix ne sont pas garantis.
Le bassin
Le prix d’un bassin varie principalement en fonction de la technique de construction employée
VoicLes piscines à coque ainsi que les kits en acier ou en bois sont souvent choisies pour leur simplicité de mise en œuvre, ne nécessitant pas de compétences techniques particulières. Leur coût accessible permet d’installer un bassin pour un budget inférieur à 15 000 € TTC.
En revanche, la durée de vie limitée de ces structures, la rénovation complexe de leur étanchéité, leur sensibilité aux sols humides et leurs incompatibilités avec certaines natures de terrain imposent — conformément aux normes — la réalisation d’une étude de sol et la mise en œuvre de dispositifs de drainage et de terrassement spécifiques.
Les piscines coques et les piscines en kit acier ou bois ne sont pas commercialisées dans le réseau BLUE 2.0, car elles ne répondent pas à nos exigences de durabilité, de résistance et de rénovabilité.

Les bassins en béton représentent aujourd’hui la solution la plus fiable et la plus durable, compatible avec tous les types de sols et facilement rénovable. Il existe plusieurs techniques selon vos besoins.
Selon la technique de mise en œuvre (maçonnerie traditionnelle, blocs à bancher ou béton banché), le coût d’un bassin en béton varie généralement entre 18 000 € et 25 000 € TTC, selon le type d’équipements choisis et la région d’installation.
Ces montants indicatifs s’entendent main d’œuvre et fourniture comprises pour un bassin de 8 m × 3,5 m × 1,5m.
Les prix peuvent varier en fonction de la région, des coûts locaux des matériaux et des fournitures, ainsi que des tarifs de main-d’œuvre pratiqués localement.
Le revêtement et l’étanchéité
L’étanchéité d’un bassin dépend directement des techniques et matériaux utilisés
À l’exception de l’inox, quel que soit le revêtement choisi, il est indispensable d’en assurer l’entretien régulier et, au fil du temps, d’en prévoir la rénovation : aucun revêtement n’est inusable.
Très couteux, le carrelage a longtemps été le revêtement le plus utilisé, mais il est aujourd’hui devenu marginal. La grande majorité des assurances décennales le refusent désormais, en raison de sa solidarité avec le support, qui entraîne de nombreux risques de fissuration et de perte d’étanchéité.
Pour ces raisons, Blue 2.0 ne réalise ni revêtements en carrelage ni enduits, jugés trop fragiles et à risque sur le plan de l’étanchéité.
Les membranes PVC, quant à elles, offrent un large choix de coloris et de textures. Leur prix varie généralement de 4 000 € pour un liner standard à environ 12 000 € TTC pour une membrane armée texturée, selon les finitions et la complexité de la pose.

Ces montants indicatifs s’entendent main d’œuvre et fourniture comprises pour un bassin de 8 m × 3,5 m × 1,5 m avec une tranchée de 10 mètres linéaires entre le bassin et le local technique.
Les prix peuvent varier en fonction de la région, des coûts locaux des matériaux et des fournitures, ainsi que des tarifs de main-d’œuvre pratiqués localement.
Le local technique de filtration
Le local technique est le cœur de la piscine
Le local technique peut être installé dans un local existant, être enterré, ou encore intégré dans des armoires ou abris conçus en bois, PVC ou aluminium. Il peut également faire l’objet d’une construction spécifique, de type pool house, selon les besoins esthétiques et fonctionnels du projet.
Un abri bas, sa dalle et sa préparation coûtent généralement entre 1 000 € et 2 500 € TTC, selon les matériaux utilisés et la qualité de fabrication.
Pour un équipement de filtration traditionnel avec régulation, il faut prévoir un budget compris entre 3 000 € et 5 000 € TTC, incluant la fourniture et l’installation.

Ces montants indicatifs s’entendent main d’œuvre et fourniture comprises pour un bassin de 8 m × 3,5 m × 1,5m.
Les prix peuvent varier en fonction de la région, des coûts locaux des matériaux et des fournitures, ainsi que des tarifs de main-d’œuvre pratiqués localement.
Le traitement
Le traitement de votre eau de piscine est un choix déterminant.
Le choix du traitement de votre eau de piscine dépend de l’utilisation, de la taille de votre bassin et de la facilité d’entretien que vous souhaitez pour votre installation. Du chlore au système de traitement aux UV en passant par les électrolyses de sel, le prix de l’installation peut varier de 0 à 3 500 € TTC.

Ces montants indicatifs s’entendent main d’œuvre et fourniture comprises pour un bassin de 8 m × 3,5 m × 1,5m.
Les prix peuvent varier en fonction de la région, des coûts locaux des matériaux et des fournitures, ainsi que des tarifs de main-d’œuvre pratiqués localement.
Raccordements
Tranchées et raccordements
Tranchées et raccordements
Les tranchées, raccordements électriques, tuyauteries, ainsi que les arrivées et évacuations d’eau vers le local technique sont indispensables au bon fonctionnement de votre bassin.
Ces installations assurent la circulation des flux hydrauliques et électriques entre votre habitation et le local technique.
Le raccordement électrique doit être protégé par un disjoncteur différentiel dédié, conformément aux normes de sécurité en vigueur.
Les liaisons hydrauliques et les conduites en polyéthylène doivent être enterrées hors gel et signalées par un grillage avertisseur afin d’assurer leur protection et leur durabilité.
Prix indicatif des raccordements : entre 2 000 € et 3 500 € TTC selon la configuration du terrain et la distance du local technique.

Ces montants indicatifs s’entendent main d’œuvre et fourniture comprises pour un bassin de 8 m × 3,5 m × 1,5m.
Les prix peuvent varier en fonction de la région, des coûts locaux des matériaux et des fournitures, ainsi que des tarifs de main-d’œuvre pratiqués localement.
Margelles et terrasses
Les margelles et les terrasses périphériques
Il est difficile de donner une estimation précise du prix d’une terrasse, tant celui-ci dépend des matériaux choisis.
Le bois, la pierre naturelle et le béton sont les matériaux les plus couramment utilisés pour aménager le pourtour du bassin.
La plage doit permettre une entrée et une sortie d’eau en douceur, tout en offrant un confort optimal aux baigneurs.
Le style de la plage sera déterminé en fonction de l’espace disponible autour du bassin, mais aussi de l’harmonie esthétique avec l’environnement paysager et l’architecture de la maison.
Prix moyen au m² : de 250 à 350 € TTC
Les margelles posées à la surface du bassin peuvent être réalisées dans de nombreux matériaux.

Chez Blue 2.0, nous avons fait le choix d’installer exclusivement des margelles en pierre naturelle ou en grès cérame, reconnues pour leur qualité et leur durabilité exceptionnelles.
Nous n’utilisons ni le bois, ni le béton, ni la pierre reconstituée, car ces matériaux sont trop fragiles : ils se décolorent, se déforment ou se fissurent avec le temps.
Le coût d’une margelle en pierre naturelle varie selon plusieurs critères : l’épaisseur (de 3 à 8 cm), la longueur, le type de pierre, et la qualité de l’hydrofuge, qui est fortement conseillé sur la plupart des pierres.
Les grès cérames présentent également une large gamme de prix.
À titre indicatif, il faut compter environ 2 500 € TTC installé pour un grès cérame classique, et jusqu’à 5 500 € TTC pour une margelle en pierre naturelle taillée de 8 cm d’épaisseur.
Ces montants indicatifs s’entendent main d’œuvre et fourniture comprises au m².
Les prix peuvent varier en fonction de la région, des coûts locaux des matériaux et des fournitures, ainsi que des tarifs de main-d’œuvre pratiqués localement.
Chauffage
Plus de confort pour une saison prolongée
Le chauffage de la piscine peut être assuré par différentes technologies selon vos besoins et votre installation existante.
Il peut être solaire, assisté par des volets chauffants, ou encore réalisé grâce à un échangeur thermique raccordé à votre système de chauffage central.
Il est également possible d’opter pour un chauffage électrique indépendant.
Aujourd’hui, le système le plus performant, réversible et le plus couramment utilisé reste la pompe à chaleur, qui permet de chauffer ou rafraîchir l’eau de manière économique et écologique.
De 0 à 3 000 € TTC pour une pompe à chaleur

Ces montants indicatifs s’entendent main d’œuvre et fourniture comprises au m².
Les prix peuvent varier en fonction de la région, des coûts locaux des matériaux et des fournitures, ainsi que des tarifs de main-d’œuvre pratiqués localement.
Couverture
La couverture de piscine est un équipement essentiel qu’il ne faut pas négliger.
lle peut représenter jusqu’à 30 % du coût total du bassin, notamment si vous optez pour un volet immergé ou une terrasse mobile.
Une bâche à barres constitue une solution économique, mais son utilisation est souvent plus contraignante au quotidien.
Un volet hors-sol offre une bonne praticité, bien qu’il puisse être perçu comme moins esthétique, tandis qu’un volet immergé allie confort, discrétion et esthétisme, mais pour un investissement plus élevé.
Prix indicatif des couvertures : de 2 000 € à 18 000 € TTC, selon le type d’équipement et le niveau de finition souhaité.

Ces montants indicatifs s’entendent main d’œuvre et fourniture comprises pour un bassin de 8 m × 3,5 m × 1,5m.
Les prix peuvent varier en fonction de la région, des coûts locaux des matériaux et des fournitures, ainsi que des tarifs de main-d’œuvre pratiqués localement.
Conclusion
Le prix d’une piscine : un projet sur-mesure
Le prix d’une piscine dépend de nombreux facteurs : la technologie de construction, les équipements choisis, le coût des matières premières, mais aussi la taille du bassin, son accessibilité, la nature des sols et la région d’installation.
Il est donc impossible de définir un prix précis au mètre carré, car chaque projet est unique. Le budget final de votre piscine sera fortement influencé par vos choix techniques et esthétiques ainsi que par les contraintes de votre terrain.
C’est pourquoi Blue 2.0 conçoit chaque piscine sur mesure, en vous accompagnant à chaque étape pour adapter votre projet à vos besoins, à vos contraintes techniques et à votre budget.
Comptez une fourchette moyenne de 38 000 € TTC pour une piscine équipée du minimum nécessaire, et jusqu’à 90 000 € TTC pour un bassin intégrant les options les plus sophistiquées, mais également les plus coûteuses.
Ces écarts de prix illustrent toute l’importance de faire les bons choix dès la conception de votre projet, afin d’adapter votre piscine à vos besoins réels, à vos priorités et à votre budget.

Ces montants indicatifs s’entendent main d’œuvre et fourniture comprises pour un bassin de 8 m × 3,5 m × 1,5m.
Les prix peuvent varier en fonction de la région, des coûts locaux des matériaux et des fournitures, ainsi que des tarifs de main-d’œuvre pratiqués localement.
En savoir plus sur les constructions de piscine
consulter Le Mag Blue 2.0
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